mardi 1 février 2011

Si Parle leur de batailles, de rois et d'éléphants était...

...un tableau, il serait la peinture à l'huile de Ivan Avazovsky, "vue de Constantinople au clair de lune".


J'ai choisi ce tableau car tout d'abord l'action se déroule dans cette magnifique ville mais aussi parce qu'il me rappelle l'atmosphère du livre. Le fond presque noir me fait penser à la mystérieuse et envoûtante danseuse, on ne distingue que très peu les détails et contours comme c'est le cas de Michelangelo qui ne connaîtra l'identité de la jeune femme que vers la fin du roman ce qui renforce encore la comparaison avec celle-ci. Enfin le coucher du soleil me fait penser aux beautés orientales (l'architecture, les femmes...) que découvre le sculpteur tout au long du roman.

...une couleur, il serait le rouge car il symbolise la passion, l'obsession, la fascination, l'admiration de Michelangelo envers la danseuse. Il représente également le sang de celle-ci qui coulera à la fin du roman.


...une odeur, il serait l'odeur puissante et forte du safran, puissante comme la fascination qu'éprouve Michelangelo envers la belle Andalouse et forte comme l'amour de Mesihi, le poète, envers le sculpteur.

...un objet, il serait la dague conçue par MichelAngelo. Celle-ci sera utilisée par Mesihi afin de tuer la danseuse que Michelangelo admirait tant.

J'ai choisi cet objet car il symbolise la fin "tranchante" de Parle leur de batailles, de rois et d'éléphants:

Michelangelo croit que Mesihi la trahit alors qu'il lui a sauvé la vie, la danseuse est morte, l'oeuvre de Michelangelo reliant les deux rives sera détruit...


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