mardi 1 février 2011

A l'ouvrage "Parle-leur de batailles de rois est d'éléphants", j'associerais...

...Un carnet, comme celui de Michel-Ange.
Pour l'artiste il représente tout : ses listes de mots, ses inventaires, ses croquis, son art.
Dès qu'il observe un élément, un objet ou une personne particulière, il s'empresse de le dessiner dans son carnet.

...Des pattisseries orientales, pour rappeler les saveurs de l'Orient, et les plats qu'il goûte durant son séjour. Michel-Ange découvre ainsi la culture de ce pays à travers sa cuisine.

...L'odeur de la ville, de l'air du matin lorsque l'artiste se promène à l'aube dans la ville encore endormie, et le soir après les différentes festivités. Cette ville qu'il va tenter "d'apprivoiser", pour laquelle il va dessiner un pont, contribuant ainsi à la glorifier encore et à confirmer son statut de génie et son prestige.

...Le gris, comme la couleur des habitations, du fleuve, de la rue, de la pluie, du ciel tôt le matin, des nuages lors d'un soir d'orage, et comme la couleur qui reflète l'humeur de Michel-Ange; un mélange de blanc et de noir, de gentillesse et de soudaines colères.

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